Il est question d'humanité, d'animalité, de simplicité, de fragilité, de sensibilité.
Nous avons eu envie de dire que le cirque était avant tout un espace, un volume de liberté d'expression, un univers poétique propice à la réflexion.


Sur une piste de 1,5 m. de diamètre, tout est possible.
Tout est possible parceque la vraie dimension du spectacle prend forme dans l'esprit de chaque individu qui compose le public.

Dans le petit cercle boiteux de mon imaginaire, avec l'aide de Boudu le chien, Irène la poule, Krakos le rat le plus malin du monde, les étranges sculptures mobiles qui composent le décor, nous partons tout simplement en voyage...

Au milieu de ce petit monde, il y a un Clown.

LE MAG Département des Landes le 12.07.2012
Festival "Rue des Etoiles" à Biscarosse
 

Ce clown là, il a plein d’espoir, de projets, de perspectives, il aspire à la réussite… comme tout le monde… ou presque tout le monde… enfin, comme tous ceux qui n’ont pas renoncé, tous ceux qui ne sont pas devenus : « rien que des agents d’exécution ».


 
 FR3 le J.T. PAYS DE LOIRE DU 19.10.2011

Et puis dans le fond, qu’est ce que c’est « la réussite » ?
Ce clown là, il essaye d’exister. Mais c’est difficile d’exister pour un clown …

Le 19/20 Régional FR3 Tarn du 25.08.2011

Un clown, un rat, une poule, un chien...

Le petit cercle boiteux de mon imaginaire

SOUS LE PLUS PETIT CHAPITEAU DU MONDE
Un univers inspiré par le sculpteur Alexander Calder.

Jauge 40  personnes tout public, (accessible à partir de 4 ans).

Durée 75 minutes.

Nous proposons une version plus courte que nous avons nommée
"le petit cercle éphémère",

 d'une durée de 30 minutes.

 Nous la  pratiquons sous forme d'entre-sort . 4 spectacles par jour.
(nous contacter).


Possibilité d'une rencontre avec le public à la suite du spectacle.


ZAMPANOS-CIRQUE ARCHAÏQUE

Les arcanes de l’enfance.

Derrière la légèreté du propos, l’innocence de la forme, se dégage une profondeur insoupçonnée.
Des êtres de bois, de fer, de poil, de plume, de chair et d’os nous proposent un voyage dans l’archaïsme de notre enfance… un retour aux origines.
S’il accepte de lâcher prise, le spectateur se métamorphose, ses sens et son ingéniosité sont convoqués, pour entrer dans le jeu naïf du clown.
C’est un jeu que tout le monde connaît bien, et ça commence comme ça :
- « on se dit que… ».

Dans ce voyage là, progressivement et avec sa permission, le spectateur devient acteur . Il est convié , en toute confiance, à libérer ses récepteurs à émotion, (Ceux que l’expérience sociale nous apprend à caparaçonner), il se place en « suspension consentie » pour jouer à voir la réalité ailleurs.
Ce que Meyerhold a appelé « la convention consciente », on pourrait autour de la piste, l’appeler « la convention confiante ». L’ univers incertain et pourtant rassurant, les relations qui s’y tissent nous poussent à exhumer notre archaïsme poétique, notre sensibilité primitive pour ouvrir le champs aux possibles.
Quelque soit notre âge, «  le petit cercle boiteux de mon imaginaire », nous invite à assumer l’intime de notre complexité loufoque, notre clown, notre beauté d’enfant.


Le clown, dans chacun d’entre nous, c’est celui qui n’a pas peur de se promettre l’impossible même s’il est terrifié par son humanité. Il a le courage de se tenir dans cet espace précis et intime où le rire à son acmé nous parle des larmes qui dorment dans notre cœur. Combien de clowns meurent au fond des gens, silencieusement, le triste jour où ils abdiquent devant les chiffres, les statistiques, les études dites scientifiques, toutes choses aussi dangereuses que des bêtes sauvages si on ne sait pas les tenir à leur juste place ? C’est une hécatombe de clowns ! - Catherine Dolto .


Spectacle interprété par Michel GIBE diplômé de l' Ecole supérieure : Centre national des arts du cirque de Chalons en Champagne (DEAC - Diplôme d'Enseignement des Arts du Cirque), avec la complicité d'Annie GIBE.